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Stress chronique des femmes : comprendre les causes hormonales et retrouver l'équilibre avec les soins énergétiques

juin 8

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Le stress chronique touche plus particulièrement les femmes que les hommes. C'est un constat étudié dont j'ai parlé dans mon précédent article dans lequel je développais le lien entre le stress et l'énergie (Stress chronique et énergie vitale : quelle place pour les soins énergétiques ?). Dans ce texte j'explore les causes spécifiques du stress chronique chez la femme et comment il est possible d'y répondre en intégrant routines bénéfiques et les soins énergétiques.


Une question de biologie... mais aussi de culture


Si les différences biologiques expliquent en partie cette inégalité (notamment les fluctuations hormonales) le facteur culturel est également présent.


A mon sens, celle-ci prend aussi racine dans une sensibilité émotionnelle plus développée qui est renforcée par l'identité de genre (donc culturelle).

L'hypersensibilité émotionnelle de beaucoup de femmes les rend vulnérables à l'absorption des énergies et des émotions de leur entourage (même si ce n'est pas pour autant une spécificité féminine). Cette hypersensibilité est renforcée par les injonctions sociales :

  • être une ''bonne mère'',

  • une ''femme forte'',

  • une ''épouse parfaite''.


Cette attentes collectives inconscientes sont directement impliquées dans le sentiment de culpabilité, dans la production d'anxiété et dans le stress des femmes.

Le besoin de bien faire, voire d'être irréprochable engendre une surcharge mentale constante et émotionnelle qui alimente un stress chronique difficile à évacuer.


Au-delà, toutes les femmes ne sont pas non plus égales entre elles face au stress, certaines sont plus affectées, plus sujettes et ce pour un vécu qui pourrait sembler, proche de l'extérieur.



  1. Le stress hormonal, comprendre le rôle du cycle et des glandes ?


Le cycle menstruel, post-partum et ménopause : les montagnes russes hormonales

Le stress impacte l'équilibre hormonal et ce à tous les âges de la vie d'une femme. Le cycle menstruel influence quant à lui directement l’humeur, l’énergie vitale et les symptômes physiques.


En effet, voici une révélation : le stress impacte nos hormones et nos hormones jouent sur le ressenti du stress. Cycle menstruel, grossesse, post partum, ménopause sont des moments où les variations hormonales peuvent amplifier la perception du stress et accentuer les symptômes physiques et émotionnels du stress (fatigue, insomnie, douleurs musculaires...).

 

Les hormones sont des messages, les symptômes que nous ressentons sont les messages exprimés.


Comprendre le lien entre système hormonal et stress chronique des femmes : qu'est ce qui se joue dans la relation stress et hormones liées au cycle de vie de la femme ?

 

Certaines le vivront bien. Pour d'autres, il s'agit d'agir afin de limiter des hauts et bas incessants.


La régulation des hormones est donc un enjeu majeur pour se sentir mieux.

En fonction de l'acuité du ressenti et de l'association d'autres symptômes, un traitement médical (notamment à la ménopause) peut être adapté mais toutes ne souhaitent pas s'engager en première intention dans ces protocoles.



Hypothalamus, cortisol, œstrogène : que se passe t-il dans mon corps ?

Le cerveau, via l'hypothalamus et l'hypophyse, est un grand ordonnateur. Il dirige et contrôle les fonctions et organes liés aux hormones (glandes surrénales, thyroïde, pancréas et ovaires).

Cortisol, insuline et ocytocine sont les hormones de premier niveau qui ont un impact sur le fonctionnement des autres hormones. Elles réagissent quotidiennement au stress, à l'alimentation mais également aux ressentis affectifs.


L'axe majeur du lien stress et hormones se jouent entre l'hypothalamus et les glandes surrénales. Les hormones qui y sont liées sont le cortisol, l'adrénaline et la DHEA. Avec le temps, en stress chronique, les glandes surrénales et ces hormones s'épuisent. Apparaissent fatigue, baisse de l'immunité et changement d'humeur.


A ce schéma déjà complexe, ajoutons le rôle spécifique des hormones sexuelles qui pendant près de 30 à 40 ans va conduire la vie des femmes physiquement, émotionnellement et mentalement.


  • Pour la femme en âge de procréer

Une fois par mois, un interaction se met en place entre hypothalamus hypophyse et ovaires pour produire des hormones. L'ovulation, une fois les taux d'hormones suffisamment élevés, se déclenche alors.


Le syndrome pré menstruel s'exprime fréquemment par un accroissement de l'anxiété et du stress. Le mental des femmes qui vivent difficilement les syndromes pré menstruels, redoute cette période au point qu'il va générer par anticipation du stress et de l'anxiété.


Parler de stress chronique lié aux hormones et au cycle menstruel des femmes n'est donc pas faux.


En premier lieu, parce que le pic de la manifestation du stress liée au cycle revient systématiquement pendant des années. Encore bien après la fin des menstruations les hormones sexuelles, même effondrées, sont encore présentes. Le corps apprend à faire avec et se met parfois en mode combat avec constance.

La seconde raison est qu'un état d'apaisement ne réapparaît pas toujours, voire jamais, à la fin du cycle.


  • Pour la femme en ménopause

A la ménopause, la stimulation par l'hypophyse des ovaires existe toujours mais la réponse en retour est faible. Le système hormonal peut s'en trouver 'stressé'.


Ce qu'il faut retenir : Les femmes sont donc deux fois plus soumises à des variations hormonales que les hommes. La fluctuation des hormones sexuelles joue un rôle prépondérant dans le ressenti des montagnes russes émotionnelles vécues par les femmes au cours de leur vie. Un taux d'œstrogène bas est, en particulier, associé à l'irritabilité et à la tristesse. Le ressenti de stress se trouve exacerbé dans la vie d'une femme qui doit composer avec ces vagues hormonale.



  1. Héritage maternel et schémas familiaux : un stress transmis ?


L'enfant, garçon ou fille, apprend dans sa très jeune enfance par imitation de ses parents. Les messages transmis par le parents, verbaux ou non verbaux conditionnent, pour part, notre rapport à la gestion du stress et nos comportements. Que vous ont-ils légué en héritage ? Qu'est ce que nos mères ont imprégné dans notre rapport au stress et en particularité au stress généré par l'action ?


Arrêtons-nous sur ce que nous avons perçu de notre mère et de son rapport au stress, à sa charge mentale et à son niveau d'activité.


  • Quel rapport votre mère entretenait-elle avec elle-même (ses émotions, son état énergétique, sa santé mentale et physique, son rapport aux autres) ?

  • Prenait-elle du temps pour elle, pour se ressourcer régulièrement ? Votre mère économisait-elle son énergie ?

  • Débordait-elle d'énergie ou économisait-elle ses forces ?

  • Comment gérait-elle la pression ?

  • Avez-vous perçu quelles étaient ses stratégies de ressourcement ?

  • L'avez-vous vue courir constamment, jonglant avec les activités qu'elle devait mener, gérer une pression constante, s'accordant peu de temps et vivant des périodes de profondes fatigues ?

  • Que vous a t-elle transmis consciemment ou inconsciemment ?

  • Quel regard portez-vous aujourd’hui sur ce vécu ?

  • Cela fait-il écho avec ce que vous vivez aujourd’hui ?


L'identification au comportement du père n'est pas à écarter.

Combien d'entre nous comptent sur les doigts d'une main les moments où parents et enfants étaient ensemble installés sur le canapé familiale le dimanche après midi ?

Sans parler du comportement spécifique des TDAH ou de l'hyperactivité, avoir un des ses parents (ou les deux) constamment en activité ne nous apprend guère à nous poser, à prendre du temps pour jauger l'inconfort lié au stress, à choisir délibérément de poser un temps de sérénité, sans rien faire, juste être dans la présence.


La construction de votre rapport à l'action peut en impacté.

Le leitmotiv : je suis par ce que je fais est bien ancré !

  • Si je ne fais rien, je ne suis pas.

  • Si je fais, je fais beaucoup et je remplis mon temps qui n'est plus libre.


Demandez à une personne en surmenage constant et/ou en stress chronique de ne rien faire... Réponse : elle ne sait pas ce que c'est.


Prendre soin de soi, sans culpabilité ni contrainte, est un apprentissage qui est d'autant plus long à réaliser que les modèles parentaux en ont été éloignés.



  1. Deux cas souvent oubliés : étudiantes et mamans solo


Des femmes sont encore plus exposées au stress chronique : les jeunes adultes et les mères solo subissent une pression invisible, peu documentée et pourtant constante.


La vie des étudiantes n'est pas un long fleuve tranquille


Le stress chronique des femmes étudiantes est une réalité sous-estimée.

On parle rarement de la pression de réussite faite à l'endroit des jeunes. Celle des étudiantes, est, à mon sens, loin d'être appréciée à son juste niveau.


Le stress chronique des étudiantes se traduit par un mental surchargé, des pensées en boucle et une hyperactivité mentale propre aux études.

A cela s'ajoute d'autres facteurs. Loin de l'image d’Épinal que l'on pourrait en avoir, la vie étudiante n'est pas faite de temps de loisirs et de plaisirs compensateurs du stress vécu pendant la période des études.


La vie des étudiantes peut être marquée par une suractivité dés lors qu'il faut travailler pour compléter les aides familiales ou sociales (entre 50 et 60 % des étudiants travaillent pour payer leur études). Certaines jonglent avec un emploi du temps surchargé entre études et un ou deux jobs alimentaires. Le rythme génère alors anxiété permanente, épuisement physique et mental.


L'absence de ressources suffisantes impacte également directement cet état de stress chronique (1/3 des étudiants déclarent sauter un repas régulièrement et 1 étudiant sur 2 a été contraint de réduire ses dépenses de divertissement et sorties en 2024). Or alimentation et activités (qui permettent de relâcher la pression) sont deux piliers du 'prendre soin de soi' dans la gestion du stress chronique. Et, si la raison économique n'explique pas complètement l'absence d'actions entreprises pour tenter de faire baisser le stress, elle y contribue fortement.


A cela, on peut bien entendu ajouter les fluctuations hormonales d'un cycle menstruel qui peine encore à trouver son rythme de croisière.


S'en suivent des jours de migraines, d'insomnie, une hyperactivité mentale hors de contrôle et une absence de prise de recul pour hiérarchiser les besoins vitaux (la santé V/S la réussite des examens), sans oublier une sensibilité à fleur de peau.


Les mamans solo, épuisables guerrières


Isolement, fatigue accumulée, peur constante de ne pas être à la hauteur de l'éducation des enfants, obligation économique importante, la pression également vécue par les mères solo peut marquer leur santé physique comme mentale.


Sans relais familial ou soutien quotidien (en action ou en parole) les petites mamans cumulent responsabilités, injonctions sociales et stress ponctuels à gérer seules les aléas du quotidien. Leur charge mentale s'en trouve décuplée.

Ces attentes et conditions les rendent plus vulnérables face à l'installation du stress chronique et à la fatigue émotionnelle.


Exercer un droit à la déconnexion maternelle, s'octroyer un vrai temps à soi, hors de chez soi est souvent impossible. Pour autant, doit-on renoncer à essayer de faire baisser ce stress qui nous empoisonne quotidiennement et qui fait perdre patience même à une maman solo aguerrie aux turpitudes de la vie ?



  1. Soins énergétiques et stress féminin, mon approche spécifique


La lecture globale de la femme

Les arts énergétiques, à l'instar de la médecine chinoise, considèrent la femme dans sa globalité (de façon holistique : mental, corps, esprit) et la spécificité de ce qu'elle vit.


Pour définir les points sur lesquels la séance de "soins énergétiques" insistera, dans ma pratique je balaye avec la consultante quelques questionnements, en début de séance (pour en savoir plus sur mes accompagnements)  :

  • Quel âge a t-elle (enfance, adolescence, femme en âge de procréer, femme en pré ménopause ou péri ménopause) ?

  • Dans quelle période de vie se trouve t-elle ? A t-elle eu des enfants ? quelle est son activité principale ?

  • Comment se sent elle énergétiquement, mentalement, émotionnellement et spirituellement ?

  • Quels signes physiques ressent-elle de façon récurrente (sueurs, bouffées de chaleur, insomnie ... ) et émotionnels (envie de pleurer, irritabilité...)

  • A t-elle identifié ce qui déclenche le stress et qui peut être lié à la vie hormonale et ses fluctuations perpétuelles ?

  • Que sait elle du vécu de la lignée des femmes de sa famille concernant ce sujet ?

  • Etc


Équilibrer le yin et le yang au fil des âges

Le stress des femmes lié aux changements hormonaux n'est pas traité comme un symptôme isolé. Il rentre, lors d'une séance de ''soins énergétiques'', dans une réflexion plus large qui comprend en particulier :

  • Un test de la vitalité du QI (énergie) des différents corps subtils, des organes et en particulier les reins, le foie, la rate et bien entendu des glandes hormonales et des ovaires.

    Je m'appuie sur du magnétisme et sur les techniques de nettoyage énergétique et de relance du QI du système NIJI.

    Je sollicite la décharge des énergies usagées, la recharge et l'activation des corps et des organes. Le Qi du rein fait l'objet d'une attention particulière car il tend à baisser à partir de 35 ans.

  • Une évaluation du rapport entre le yin et le yang. L'énergie yang étant très vive chez la jeune adulte, elle tend à baisser dès la quarantaine (voir avant, en fonction des femmes). A la fin de cette décennie, le QI et le yang des reins se sont effondrés et les menstruations s'arrêtent.

    Mon intention n'est alors pas de relancer systématiquement le yang chez la personne mais d'arriver à trouver l'équilibre qui est juste et adapté à ce moment de vie et accepté par le corps.

  • Des pratiques spécifiques viennent compéter cette première partie du ''soin énergétique'' (relance du nerf vague, baisse du ressenti du stress, relance de la vitalité, recherche des causes profondes...).

  • Un accompagnement de la consultante à des habitudes favorisant la production des hormones régulatrices, bienfaitrices tant pour le stress que le cycle menstruel ou la ménopause.


Agir sur l'épuisement émotionnel

Différents axes de travail peuvent être engagés par l'énergéticien pour diminuer le stress multifactoriel. Beaucoup dépendent de l'histoire et de la situation de chacun.e.


Néanmoins, je souligne quelques incontournables :

  • agir sur la fatigue physique, mentale et émotionnelle,

  • faire diminuer l'agitation mentale : à un certain stade du stress, il devient difficile de savoir cerner ce qui est important et ce qui est nécessaire de lâcher,

  • restaurer la confiance en soi : assumer de faire des choix est possible dès lors que l'on a la possibilité de croire en la justesse de ses propres arbitrages.


Libérer les blocages liés au stress

Quand les schémas sont inconscients, les arts énergétiques, et notamment le système holistique NIJI que je pratique, présentent l'intérêt de pouvoir saisir nos propres croyances et celles des générations précédentes et d'agir dessus.


Si l'on considère que tout est énergie, comme le croient les praticiens en énergie, le stress transmis entre générations laisse des traces qui sont autant d' informations énergétiques. Les croyances, comme les blessures inconscientes ou encore les traumas, produisent des mémoires énergétiques féminines et des blocages que l'on peut ''cleaner''. Avec une plus grande clarté d'esprit, progressivement il est possible de se rendre compte que certains schémas qui, jusqu'alors nous conduisaient, ne nous appartiennent plus.


Bien entendu, je ne dirais pas que ces pratiques fonctionnent à chaque fois avec la même intensité mais associées à des propositions de changement, les consultantes me font part, au fil des séances, des évolutions sur les certitudes qu'elles portaient jusqu'alors et sur la levée de de leurs blocages.


Reprendre la main : outils, routines et transformation


Chercher un ressourcement immédiat, sans projeter de résultats et de bienfaits à long terme sur le stress, permet de réapprendre à se faire plaisir, à doper la dopamine.

Vivre ce qu'il y a à vivre, dans le ici et maintenant, sans chercher les résultats immédiats.


Créer sa routine anti-stress

Les arguments fréquemment évoqués lorsque l'on se sent dépassé par le stress chronique et que l'on pense ne jamais pouvoir être autonome sur le long terme dans sa régulation  sont :


  • l'absence de temps

Quelques années d'expériences à avoir mis en avant cet argument me font dire qu'il s'agit davantage de se poser la question des priorités et à travailler sur le sentiment de culpabilité.


S'accorder du temps pour soi, pour relâcher la pression, pour effectuer des routines, c'est accepter de rogner sur le temps donné à autrui (famille, enfants, parfois amis...) ou à un investissement (professionnelle ou personnelle). C'est apprendre à lâcher le sur investissement. C'est se discipliner pour chasser les habitudes coûteuses en temps que l'on pourrait consacrer à décompresser réellement et réaliser sa routine anti-stress. Sans être exhaustive, pensons au temps passé sur les réseaux sociaux, à notre perfectionnisme dans le ménage etc.

Difficile challenge.


La question est davantage de savoir si l'on souhaite porter une culpabilité à s’accorder du temps ou si l'on considère que penser à soi ce n'est pas désir mais un besoin.


Organiser des temps de décompression en lâchant les exigences envers nous-même, prendre quelques minutes plusieurs fois quotidiennement pour une gestion du stress naturelle (cohérence cardiaque par exemple), pour favoriser les ressourcements énergétiques auront un impact sur soi et sur notre relation avec notre entourage (et nos enfants en particulier).


A mon sens il est souvent illusoire de chercher les solutions d'une transformation intérieure du jour au lendemain. Nous sommes le résultat d'années de fonctionnement qui ne nous conviennent pas.

La clé, à mon sens, est de réintroduire progressivement des changements par une routine autonome et de s'autoriser à se consacrer du temps encore un peu davantage. 


  • Les moyens financiers 

Faut-il disposer d'un budget 'je m'occupe de moi' ?

Cette question dépend de chacun. Certaines apprendront à réguler leur système sans passer par une aide extérieure, sans dépense supplémentaire.

En observant mes schémas, mes croyances, mon comportement, j'acquiers de la lucidité sur mon fonctionnement. Je peux remplacer ce qui ne me convient pas par de nouvelles habitudes qui font du bien à mon mental, à mon système nerveux, à mon corps.


Les ressources gratuites ne manquent pas et sont facilement accessibles.

L'enjeu est donc davantage de :

  • savoir faire le tri et ne pas se disperser (un principe à la fois comme le suggère le yoga est, à mon sens, peut être un peu restrictif !),

  • expérimenter après avoir observé ce qui pose problème,

  • adopter ce qui peut être de nature à agir sur notre état, dans la durée.


Le champ des possibles est infini et très personnel mais en tout premier lieu revenir au basique : une alimentation saine et vivante (végétaux frais), un sommeil suffisant et récupérateur, des temps de relaxation...


Je ne pourrais parler que ce que je connais : les techniques d'auto-soins et notamment des pratiques énergétiques (faciles à trouver sur internet mais attention toutes ne se valent pas), la méditation, toutes les activités de nature, le sport et les activités favorisant la circulation énergétique (Yoga, Qi gong par exemple) et exercer son mental à revenir encore et toujours au temps présent.


Pour certaines femmes, il est plus intéressant d'échanger avec un praticien pour construire quelques piliers de la transformation intérieure - dans mon exercice c'est ce que je m'emploie modestement à proposer à partir de mes connaissance et de mon expérience - ou avec un thérapeute spécialisé (comme un psychologue en thérapie comportementale et cognitive en particulier). Cette option nécessite que la relation soit suffisamment étroite entre celui-ci et sa consultante, pour qu'il puisse l'aiguiller et lui permettre d'ajuster ses propositions.


Dans un monde trépidant, sur sollicitant, revenir au plus simple ne coûte rien ou pas grand chose.


  • L'absence de ligne de conduite dans la vie

Souvent dans ce chemin de découvertes on ne sait par où commencer, que faire, ce qu'il faut changer. Quand le sentiment qui prédomine est celui d'un stress qui nous submerge, nous pensons que ne pouvons rien y faire ou qu'il y a trop à faire pour atteindre une transformation intérieure profonde.

 

Tirer les enseignements de ses propres expériences est vertueux mais souvent semé d'embûches et génère, quelque fois, de nouvelles habitudes et croyances favorisant à nouveau du mal-être.


Alors, quelles règles de vie adopter pour apprendre à vivre avec soi-même, avec la volonté de changer ce qui ne nous convient plus ?


Mon expérience tend à mettre en avant l'appui sur les philosophies (qu'elles soit occidentales ou orientales) et, lorsque cela est possible, sur des ''mentors'', personnes de confiances et de références qui les portent. Dans ce cas, je ne peux que préconiser de bien se renseigner sur les intentions portées afin de ne pas s'engager sur des pratiques dangereuses pour soi et pour notre entourage.


Lire, comprendre, suivre un enseignement et petit à petit faire rentrer de nouveaux principes dans notre vie.


Chaque possibilité présente ses avantages et ses inconvénients.


Suivre la voie d'une philosophie, c'est s'appuyer sur des concepts parfois difficiles à saisir, à intégrer, à digérer tant ils sont éloignés de ce que nous avons appris, mais qui ont été éprouvés et représentent je crois un soutien indéniable.



Revenir à soi : retrouver la paix intérieure pas à pas


Prenez le chemin et au besoin faites-vous aider pour trouver les ressourcements qui vous conviennent.

Des solutions existent, comme les soins énergétiques pour femmes, afin de ramener un état d'harmonie. De la routine anti-stress, mise en place en toute autonomie pour faire face au stress quotidien, à la transformation intérieure profonde le chemin peut paraître long.


Souvent, c'est le parcours d'une vie.

Néanmoins, il me paraît encore nécessaire de souligner l'intérêt du changement pas à pas pour sortir du stress chronique pour une femme.


Pour finir, je partage avec vous les résultats de deux études particulièrement intéressantes du lien entre le stress et les femmes.


En 2018, Les scientifiques d'une Université du Michigan effectue une étude qui tend à prouver que le stress chronique des femmes diminuerait avec l'âge. La perception du stress de 3000 femmes, suivies pendant 15 ans, a baissé à partir de 40/50 ans. Les raisons seraient liées à l'augmentation de la confiance en soi, à la capacité à faire face aux difficultés de la vie et à la diminution des pressions professionnelles et familiales.


Cette même Université a mené une seconde enquête, les chercheurs ont cette fois dévoilé que les femmes stressées étaient plus sujettes à donner naissance à des filles. Les explications avancées par les chercheurs de l'étude sont que le fœtus masculin serait plus fragile que le fœtus féminin. D'autres avancent, d'après la théorie de l'évolution, que finalement les femmes pourraient être plus résistantes que les hommes aux stress et qu'en conséquence l'évolution de l'espèce avantagerait le sexe féminin...

A méditer !


A retenir : chaque période durant laquelle je lâche mes habitudes positives ne sont pas des reculs mais des expériences qui me permettent de prendre conscience de l'ancrage des vieilles habitudes et de l'intérêt à reprendre celles favorables à mon mieux-être.

Des solutions existent (énergéticiens, kinésiologue, massothérapeuthes... et sinon psychologues, psychiatres et médecins ) pour retrouver un plus grand calme. Ne restez plus seule.


« Le chemin de mille miles commence par une seule action ». Lao Tseu


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À découvrir : Comment les soins énergétiques peuvent vous aider à restaurer votre énergie vitale (Lien vers la page des soins énergétiques d’Anne Meyer).


Le terme "soins" dans « soins énergétiques » est à appréhender dans cet article comme une expression commune. Il n'a pas vocation à exprimer une pratique de santé ou acte médical mais doit être entendu dans le sens du mieux-être apporté à la personne et est dirigé vers la prévention. 

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